Lors du comité technique du 4 juin dernier consacré aux transports collectifs, les chiffres de fréquentation des différentes lignes de bus desservant la Z.A ont été présentés : il apparaît qu’entre fin 2010 et mi 2013 toutes les lignes desservant la zone d’activités ont vu leur fréquentation augmenter.
Les lignes les plus fréquentées, c’est à dire les lignes 1 et 11 des Bus de l’agglo, et les Cartreize 102 et 69, connaissent une hausse de fréquentation de, respectivement, 12%, 16%, 13% et 26% et 49% pour la 69 vers La Ciotat et la 69 vers Marseille.
Ces chiffres comprennent également les clients de la zone commerciale, les salariés de Marseille empruntant le Cartreize au départ de la Z.A, ou encore les lycéens de l’arrêt Quartier de Jouques. Ces déductions faites, la progression reste significative et concerne bien évidemment les déplacements des salariés travaillant sur la ZA.
La part modale des déplacements des salariés se rendant en car ou en bus au travail est ainsi estimée à environ 6%, contre 4% en 2010.
La mise en avant de la prime transport par les entreprises, le partenariat de celles-ci autour du Plan de déplacements Mobilidées y sont pour quelque chose. Continuons !
Les lignes les plus fréquentées, c’est à dire les lignes 1 et 11 des Bus de l’agglo, et les Cartreize 102 et 69, connaissent une hausse de fréquentation de, respectivement, 12%, 16%, 13% et 26% et 49% pour la 69 vers La Ciotat et la 69 vers Marseille.
Ces chiffres comprennent également les clients de la zone commerciale, les salariés de Marseille empruntant le Cartreize au départ de la Z.A, ou encore les lycéens de l’arrêt Quartier de Jouques. Ces déductions faites, la progression reste significative et concerne bien évidemment les déplacements des salariés travaillant sur la ZA.
La part modale des déplacements des salariés se rendant en car ou en bus au travail est ainsi estimée à environ 6%, contre 4% en 2010.
La mise en avant de la prime transport par les entreprises, le partenariat de celles-ci autour du Plan de déplacements Mobilidées y sont pour quelque chose. Continuons !
